22 juillet 2013

Doppelgänger



Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, SuperstitionSimplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, En lutte contre la machineSimplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, Retour de la montagneSimplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, La foi de l’oie (traduction très libre), Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, La Loi de l’essence (traduction très libre), Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933

Rudolf Kriesch, Sentiments d’inférioritéSimplicissimus, 1933


Avant de séparer son activité dans le Jugend entre deux hétéronymes http://plusoumoinstrente.blogspot.fr/2013/07/rubey-demasque.html, Kriesch dessinait déjà activement pour le Simplicissimus (les deux titres étaient liés) où Th. Th. Heine l’avait engagé en 1931, et il poursuivit jusqu’au bout cette collaboration. L’année 1933 ne vit aucun changement dans la nature de son travail.
Au vu de ses dessins de 1944, il resta à distance de la réalité qui l’entourait, publiquement du moins, multipliant les scènes de charme (même si elles évoquaient parfois la situation de guerre comme ci-dessous), avec toujours le même brio et une manière de plus en plus évanescente (curieusement se rapprochant parfois de la mélancolie de Pascin). Un autre masque ?


Rudolf Kriesch, Simplicissimus, septembre 1944,
un de ses tout derniers dessins pour le magazine. 

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