3 avril 2016

La mort de Circé



Paul Iribe (Angoulême 1889-Menton 1935), La Mort de Circé ou La Revanche du cochon, éditions François Bernouard, 1928






Paul Iribe, La Mort de Circé ou La Revanche du cochon 
Le nouveau né — Inutile de s’affoler, mais ça commence mal.

n°499

3 commentaires:

  1. En surfant suite à ce billet, je tome sur un commentaire sur Amazon où il est dit que Iribe avait une sympathie marquée pour les mouvements d'extrême-droite. Ça doit un peu expliquer l'oubli où il est en partie tombé.

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  2. Peut-être est-ce la cause en effet, antidreyfusard, antisémite, mais autant anticommuniste qu'antihitlérien. Une salle de l'espace Franquin (ex Centre d'action culturel) porte son nom. Chanel était pire que lui, et a vécu sous l'Occupation, elle n'est pas oubliée pour autant — elle est un mythe, sans doute grâce aussi à la marque.

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  3. Je connais mal ce versant de Coco Chanel - comme quoi, les films et autre bio ont bien effacé ce qui pouvait déranger. Mais en même temps, c'était une femme, et j'imagine que la plupart des gens considéraient son avis comme mineur...
    Après une petite balade sur le Web, j'avoue que je suis plutôt amusé. Coco devait être une sacrée garce et je n'aurais pas aimé être son ennemi intime. Son limogeage des petites mains des ateliers et des vendeuses des boutiques est gratiné. On pourrait en faire une BD bien ironique. Les grands noms de la France côté sombre.

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