Outre sa désillusion sentimentale quand Carlotta Monterey lui préféra Eugene O’Neill, ainsi que la prise de voile de sa fille en Angleterre, la publication des Contes drolatiques de Balzac n’a pas arrangé la mélancolie de Ralph Barton, tant il fut déçu, et furieux, par la qualité de l’édition originale sur laquelle il avait mis beaucoup d’espoir.
Ici les illustrations sont extraites de l’édition courante de Droll Stories, guère convaincante non plus, publiée par Garden City Publishing Company en 1928.
C'est ...extraordinaire. Je reblogue ça dès lundi.
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