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Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933
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Rudolf Kriesch, Superstition, Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, En lutte contre la machine, Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933
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Rudolf Kriesch, Retour de la montagne, Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, La foi de l’oie (traduction très libre), Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, La Loi de l’essence (traduction très libre), Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, Simplicissimus, 1933 |
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Rudolf Kriesch, Sentiments d’infériorité, Simplicissimus, 1933 |
Avant de séparer son activité dans le
Jugend entre deux hétéronymes
http://plusoumoinstrente.blogspot.fr/2013/07/rubey-demasque.html, Kriesch dessinait déjà activement pour le
Simplicissimus (les deux titres étaient liés) où Th. Th. Heine l’avait engagé en 1931, et il poursuivit jusqu’au bout cette collaboration. L’année 1933 ne vit aucun changement dans la nature de son travail.
Au vu de ses dessins de 1944, il resta à distance de la réalité qui l’entourait, publiquement du moins, multipliant les scènes de charme (même si elles évoquaient parfois la situation de guerre comme ci-dessous), avec toujours le même brio et une manière de plus en plus évanescente (curieusement se rapprochant parfois de la mélancolie de Pascin). Un autre masque ?
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Rudolf Kriesch, Simplicissimus, septembre 1944, un de ses tout derniers dessins pour le magazine. |
Il est très joli ce dernier dessin.
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