Anton Leidl, Jugend, 1936 Office des brevets «Viens, mon enfant… nous ne pouvons pas cacher plus longtemps notre existence. » |
En 1936, Leidl revient sur son hommage à e. o. plauen évoqué il y a quelque temps dans cette même colonne : http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=4499126673120624220#editor/target=post;postID=2438663558737366607
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